L’économie européenne résiste grâce la consommation interne
La Commission vient de revoir, très légèrement à la baisse, ses prévisions de croissance économique pour 2019 et 2020.
La Commission vient de revoir, très légèrement à la baisse, ses prévisions de croissance économique pour 2019 et 2020.
Pour la première fois depuis 70 ans, la France enregistre un solde commercial agroalimentaire négatif sur le marché de l'Union européenne.
Au dernier décompte de l'Insee, la dette publique française, selon les critères de Maastricht, pesait pas moins de 2 358,9 milliards d'euros.
Même si le taux de chômage a baissé entre 2014 et 2018 dans les départements d'outre-mer, il reste bien plus élevé qu'en métropole.
En 2015, le « made in France » représentait plus de 80 % de la consommation totale des ménages, mais seulement 36 % de celle des biens manufacturés.
Dans le dernier classement des pays de l'OCDE attirant des travailleurs étrangers très diplômés, la France ne décroche qu'une modeste 22 place.
Selon le baromètre Adecco, 3,5 millions de recrutements pourraient intervenir en 2019, dont 39 % en CDI.
La production de CO2 a baissé de 2,5 % en 2018 dans l'UE. Rien qu'en France, elle a reculé de 3,5 %.
Selon les dernières estimations de l'Insee, la croissance française aurait atteint 1,7 % en 2018 et non 1,6 % comme initialement envisagé.
La Commission européenne vient de revoir à la baisse ses prévisions de croissance économique pour l'UE en 2019 et 2020.