Accélérer le développement en France et à l’international de start-up qui deviendront, à terme, la vitrine de l’innovation responsable française, c’est l’enjeu du French Tech Green 20.

Ce programme leur permettra de bénéficier d’une visibilité renforcée et d’un accompagnement des services de l’État, notamment des financements, un développement international, des recrutements, des formations aux diverses règlementations en vigueur, des aides en achat public ainsi que l’accès à des experts et un accompagnement sur les enjeux de la green tech.

Parmi les 200 candidatures reçues, 20 viennent d’être choisies sur différents critères, notamment leur impact environnemental ou leur capacité à se développer rapidement et à grande échelle, par un jury composé d’experts. Elles sont positionnées sur des secteurs divers et pour moitié situées hors Île-de-France : Algama (microalgues alimentaires), BeFC (électricité à partir de papiers et d’enzymes), DeepKi (accompagnement dans la transition environnementale de parc immobilier), DualSun (panneaux hybrides photovoltaïques thermiques), Entech Smart Energies (intelligence des réseaux électriques), Hello Watt (plate-forme pour maîtriser ses consommations et ses factures d’énergie), Kayrros (analyse de données dans le domaine énergétique), Lactips (polymère sans plastique biosourcé et biodégradable), Lhyfe (hydrogène propre), Greenly (mesure de l’empreinte carbone des particuliers et des entreprises), Matter’up (bétons bas carbone à base d’argile crue), Metron (plate-forme d’intelligence énergétique), NamR (analyse des données du bâti français pour aider à la décision et évaluer les risques), Neoplants (plante modifiée génétiquement pour dégrader les composés organiques volatils nocifs), Ombrea (ombrières protégeant les plantes des aléas climatiques), Poly to Poly (place de marché entre industriels de la plasturgie et du recyclage), Spareka (pièces détachées), Toopi (valorisation de l’urine humaine en produits pour l’agriculture et l’industrie), Urban Canopee (corolles géantes pour ombrager les villes) et Waga Energy (injection dans le réseau de gaz de méthane issu des décharges).