Malgré la crise sanitaire, qui entraîne une baisse des effectifs, les start-up sont plus créatrices d’emplois que les autres entreprises. C’est ce qui ressort du panorama de l’Insee, qui s’est penché sur le phénomène des start-up et notamment sur leurs différences avec les entreprises classiques en matière d’évolution d’emploi, de salaires et de difficultés d’embauche.

Les jeunes start-up emploient 1,5 million de salariés

Sans surprise, selon le panorama, les start-up sont majoritairement présentes en Île-de-France, suivie des régions Auvergne-Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d’Azur. Pour les plus jeunes d’entre elles (moins de 8 ans), elles sont à 95 % des TPE. Leur chiffre d’affaires s’élève à 277 000 € en moyenne, dont 6 % provient de l’export. Elles emploient 1,5 million de salariés en équivalent temps plein. La part des femmes présentes dans l’ensemble des start-up restant inférieure en comparaison avec celle dans l’ensemble de la population active (40 % contre 48 %).

Pour consulter le panorama : www.insee.fr