Les entreprises sont libres de prendre des risques dans leur gestion
L'administration ne peut plus redresser une entreprise en estimant que sa gestion est trop risquée.
L'administration ne peut plus redresser une entreprise en estimant que sa gestion est trop risquée.
La provision pour dépréciation d'une immobilisation peut être maintenue en raison de circonstances différentes de celles existantes lors de la constitution.
Des remises sur émoluments, bien que conformes à la réglementation notariale, peuvent être imposables.
Lorsque le paiement d’une créance semble compromis, sans pour autant que cette créance soit considérée comme définitivement perdue, l’entreprise peut, à certaines conditions, constituer une provision et la déduire de son résultat imposable. Rappel des conditions de déduction des « provisions pour créances douteuses ».
Afin d’inciter les entreprises à réaliser des investissements industriels, une mesure temporaire de faveur a été instaurée, leur permettant de déduire de leur résultat imposable, en plus des charges d’amortissement, une somme égale à 40 % de la valeur d’origine de ces investissements. Ce coup de pouce est prorogé et étendu aux équipements numériques.
Le locataire d'un bail commercial peut, à certaines conditions, amortir le droit d'entrée versé au bailleur.
Une entreprise peut recourir à la méthode statistique pour calculer le montant de ses provisions pour créances douteuses, c'est-à-dire chiffrer le risque d'impayé.
Les entreprises disposent de 4 ans pour solliciter le remboursement d'une créance de carry back non restituée.
Les remises sur émoluments peuvent être déduites du résultat lorsqu'elles sont consenties conformément à la réglementation notariale.
La déclaration annuelle des prix de transfert doit, dans le cadre des groupes fiscaux intégrés, être déposée par la société mère pour le compte de chaque société membre.