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Dejbox décline son service de livraison aux actifs de centres-villes

Sur le marché de la livraison de repas, la start-up Dejbox, fondée en 2015 et qui a fait entrer Carrefour dans son capital à hauteur de 60 % en janvier dernier, s’est positionnée sur le segment du déjeuner au bureau. Jusqu’ici, ses zones d’implantation de prédilection étaient les zones périphériques des grandes villes (Lille, Lyon, Paris, Bordeaux, Nantes et Grenoble). Des zones dans lesquelles les salariés avaient accès à une offre limitée : pas de cantines d’entreprises à disposition et pas d’offres de restauration commerciale à proximité. Face à la crise sanitaire, l’entreprise a su faire évoluer son modèle. D’abord durant le confinement, son activité cœur de métier ayant été durement impactée, elle a lancé un service temporaire de livraison à domicile à ses clients en télétravail dans les centres-villes de Paris, de l’Ouest parisien et de Lille. Par la suite, à l’issue du déconfinement, cette nouvelle expérience de livraison en centre-ville a permis à l’entreprise d’envisager une extension de son activité avec désormais des itinéraires de livraison dédiés aux salariés des centres-villes. Ce nouveau périmètre d’activité répond à une demande croissante des entreprises confrontées à un retour progressif des salariés au bureau et à un fonctionnement parfois au ralenti des cantines d’entreprises. Dans ce contexte, celles-ci sont désireuses d’offrir à leurs salariés plus de flexibilité dans les solutions de restauration.