L’économie peu affectée par la 4 vague épidémique
L'intensification de la circulation du virus cet été n'a eu qu'un effet limité sur la reprise de l'économie. Un constat dressé par l'Insee dans sa dernière note de conjoncture.
L'intensification de la circulation du virus cet été n'a eu qu'un effet limité sur la reprise de l'économie. Un constat dressé par l'Insee dans sa dernière note de conjoncture.
Selon un récent sondage, 64 % des Français estiment qu'il est temps de mettre fin aux dispositifs d'aide généralisés pour se concentrer sur les secteurs qui restent fragilisés.
En plus des difficultés mondiales d'accès à certaines matières premières, le Royaume-Uni doit faire face à une pénurie de main d'œuvre et à des problèmes d'approvisionnements provoqués par les nouveaux contrôles douaniers.
Redoutés, les effets de la crise sanitaire sur l'emploi restent, pour le moment, limités. Une bonne nouvelle que les aides publiques expliquent en partie.
Malgré la nouvelle dégradation de la situation sanitaire, l'économie française poursuit son redressement. Au mois de juillet 2021, l'activité économique n'était plus en retrait que de 1 à 1,5 % sur son niveau d'avant-crise.
En 50 ans, le nombre de résidences principales de plus de 4 pièces a doublé en France. Dans le même temps, le nombre moyen de personnes qui y habitent est passé de 3,1 à 2,2.