Face à l'allongement de la vie professionnelle, une majorité de dirigeants souhaitent être accompagnés. De leur côté, les salariés ne se sentent pas suffisamment préparés à travailler plus longtemps.
Sous l'effet de l'inflation, le pouvoir d'achat des salariés du privé a baissé de 1 % en 2022. Seuls les salariés au niveau du smic n'ont pas été affectés.
Alors qu'il s'établissait à 89 % de la demande intérieure, le made in France ne pesait plus que 78 %, 55 ans plus tard. Un recul qui s'explique par le développement de la mondialisation et que connaissent également nos voisins européens.
Le plus souvent éloignés de l'emploi pour des raisons de santé ou familiales, ces Français inactifs au sens économique sont majoritairement peu diplômés et à 70 % composés de femmes.
Pour faire face à la montée des prix, 73 % des ménages français affirment avoir changé leurs habitudes de consommation. L'énergie et l'alimentation sont les deux postes de dépenses les plus concernés.
6 entreprises sur 10 prennent en compte l'impact environnemental lors de l'achat d'un appareil électronique ou d'un service numérique.
Après avoir rebondi à la fin de la crise du Covid-19, les émissions de gaz à effet de serre se sont inscrites en baisse de 4,3 % sur le 1 semestre 2023.
Après avoir augmenté de 8,7 % en 2021, le patrimoine des ménages français est resté à peu près stable (+0,3 %) en 2022, plombé par la faible dynamique des biens immobiliers.
Avant transfert, entre les plus aisés et les plus pauvres, le différentiel de revenus est de 1 à 18. Après les transferts monétaires et de services publics, il passe de 1 à 3.
De 5,54 % en 2019, le taux d'absentéisme des salariés est passé à 6,7 % en 2022. Une hausse qui traduit un certain mal-être au travail et de nouvelles attentes des collaborateurs.